Solidarité 🙏 L’Introverti et l’Insomnie ❣️ 30 🖊️

TiS 25/11/2022 in La Vie - 15 Minutes

Difficulté d’endormissement ou bien réveil nocturne, précoce ou épuisé ? L’introversion insomniaque enfin évoquée

Il est tard ou bien vraiment trop tôt, impossible de rallier un sommeil dont la dette s’étend entrainant son lot d’avaries : qu‘agir lorsque l’on est introverti et que l’on perd le sommeil ? Billet informel.

L’insomnie en quelques mots

L’on définit l’insomnie par la perte de sommeil lié aux endormissements difficiles, aux réveils nocturnes et précoces de même qu’à la grande fatigue au réveil ; trois fois par semaine durant trois mois. Les introvertis, dont on sait aujourd’hui que ceux-ci manifestent une propension au neuroticisme élevé (modèle des big 5) et tendant à la rumination, demeurent ciblés par des épisodes insomniaques disséminés tout au long du parcours de vie. L’épuisement au réveil révèle qu’il existe bien un phénomène privant à l’introverti concerné d’un repos compensateur. L’insomnie est chronique, occasionnelle, comorbide de trouble, à l’endormissement, ou bien de maintenance du sommeil et d’apnée.

Les causes simples

Le premier facteur de risque reste le stress, la dépression, l’anxiété, un stress post-traumatique complexe ou non et l’apnée du sommeil responsable d’un sommeil non réparateur : les introvertis qui « dorment mal » nécessitent de déterminer si une cause respiratoire n’est pas responsable de mauvaises nuits. En dehors des causes purement psychiques et somatiques, l’on déplore les habitudes néfastes en matière d’hygiène de vie comme une consommation excessive de stimulants ou d’alcool, ou bien une literie peu engageante ; ou encore, concernant l’aspect purement mental, les relations toxiques. Un travail peu épanouissant, un couple qui bat de l’aile, une fin de cycle mal perçue, une rupture difficile… Les tracasseries financières arrivant au sommet des préoccupations des insomniaques. Les femmes et de la sorte, les introverties, seraient ainsi davantage visées d’épisodes d’insomnies.

Quels sont les risques

Les complications cardio-vasculaires, en premier, et une augmentation de la mortalité de 12 % (Healthline 2022). L’obésité, l’hypertension, les maladies mentales, un système immunitaire défaillant et tout ce qui relève de la sphère cérébrale et cognitive, extrêmement mise à mal si l’introverti dort insuffisamment. Une sexualité atteinte particulièrement, et l’on éprouve sur ce site que l’introverti marqué en tempérament demeure fragilisé dans son intimité par nature et les épisodes sans sommeil accentuent significativement ces états de choses. Une mémoire atteinte, l’irritabilité bientôt unique ressource énergétique sur laquelle l’introverti insomniaque dépend fatalement, conduisant un cercle aux vertus nuisibles.

3 h 30 du Matin, Réveil Angoissé ? 30 Manières de Contrer l’Épisode d’Insomnie d’Introverti Neurodivergent

Ne pas regarder l’heure !

C’est une erreur que commettent certainement tous les introvertis – ou les autres – lors d’une nuit manquant cruellement de repos compensateur ; dont on déplore la boule d’anxiété au ventre à la découverte des dégâts nocturnes à la vue de l’heure tardive. Ceux-ci aboutissent à une crise d’angoisse inutile et toxique. L’introverti nécessiterait de se lever au bout d’une demi-heure à guetter son plafond, se distraire jovialement pour réintégrer sa literie au premier retour du bâillement, diligemment.

Résoudre le conflit interne

Une évidence pourtant impossible à formuler lord d’une période de fatigue liée au manque de sommeil : les introvertis mirés par une forme de dissonance interne ; d’une mauvaise appréhension d’une situation, ou bien encore victimisés par un mensonge quelconque, comme dans toute situation opaque : l’important dans cette configuration demeure de comprendre, soi et l’enjeu mal discerné. Au travail, donc.

Abstenir la grasse matinée

Inutile de détailler le sens de cette astuce à peine judicieuse justifiée à l’introverti insomniaque par une logique impliquant de restreindre le repos diurne afin d’inciter le métabolisme à la fatigue compensée par la nuit suivante réparatrice. C’est préalablement à 23 heures et jusqu’à 3-4 heures du matin que le sommeil serait de supérieure qualité, que les introvertis insomniaques s’en souviennent autant que faire se puisse.

Ventiler son sommeil

Dormir avec une ventilation douce au bruit blanc, une pratique appréciable qui favoriserait l’endormissement, puisque la température du corps abaissée favorise l’endormissement. Les introvertis qui endurent des épisodes d’insomnie peuvent ainsi aérer la pièce avant de se glisser au frais.

Éviter les psychostimulants

L’alcool demeure l’un des premiers facteurs de risque d’insomnie produisant un sommeil de qualité médiocre et sujet aux réveils précoces. Les excès de thé durant la journée ainsi que toutes les caféines dissimulées en des consommations usuelles nécessiteraient de faire l’objet d’attention, si l’introverti en perd le sommeil.

Trouver un exutoire offensif

Dans la mesure où l’énergie psychique résiduelle tend à accaparer des temps vacants, l’anticiper, en bon introverti respectueux de sa santé mentale et de l’autre, bénéficierait grandement d’un défouloir. Que l’introverti choisisse le théâtre d’improvisation ou bien un art martial, la boxe ou bien encore la sculpture au burin, conduire l’émergence de ce surcroît d’éveil cortical jugulé apparait évident : à associer aux autres stratégies proposées.

Dîner soigneusement

Régime de printemps, d’été ou d’hiver ! En effet, l’on évoque invariablement les repas trop copieux. À chacun d’évaluer ses prises alimentaires en fonction des besoins que l’introverti sait convenablement évaluer. Les excès de table ne sont à déplorer qu’en cas de dépassement chronique et évident, chez les introvertis, les femmes notamment, la tendance est parfois à la privation. Attention à consommer de quoi ordonner à son organisme qu’il faut dormir, la faim n’est pas, non plus, meilleure inspiratrice.

Réemployer la lecture au lit

Un usage que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, armés de souris ou autres outils connectés au numérique. Un bon livre, peu anxiogène, soutient la santé mentale d’un introverti retrouvant ses élans penseurs en livrant un peu de matière consistante à l’esprit suractif d’introverti. Fiction ou non, une savoureuse lecture alourdirait ainsi les paupières résistantes.

Marcher au quotidien

Une idée pas si farfelue destinée aux introvertis particulièrement sédentaires échouant à proposer à leur organisme une production hormonale conduisant au repos. Effectivement, c’est à l’unanimité que le corps médical incite à la marche quotidienne, à fortiori, si l’introverti en question dort mal ou peu.

Planifier les lendemains

Qui chantent tant qu’à faire : les introvertis au profil anxieux gagnent en liberté psychique de ces entraves biochimiques que le stress fait sécréter. Une habitude simple à implémenter consiste à planifier ses semaines et ses fins, journées en mise à jour quotidiennes afin de ne pas s’éveiller la nuit en regrettant l’omission d’une facture ou encore d’un rendez-vous contraignant. Prohibition à l’introverti d’y revenir après 19 heures.

Écouter une histoire/hypnose

Téléchargeables et agrémentés en symbolisme, les contes pour adultes présentent des qualités hypnotiques efficaces. Les introvertis qui ruminent régulièrement entendent un rythme vocal que le narrateur choisit d’adapter à l’objectif d’endormissement. En cas de réveil nocturne, pour l’avoir essayé, cela s’avère sans cesse intéressant. À tester donc.

Disposer de bruit blanc

Une couverture auditive autant importante que les autres, lestées destinées au public neurodivergent et notamment introverti. Ces appareils ou téléchargements d’applications présentent une offre ample en ambiance déterminée en fonction des appétences de l’introverti insomniaque pluviophile ; par exemple ; qui choisirait une illustration sonore de pluie fine ou d’averse, de moteur d’avion ou encore de chants d’oiseau.

Tenir un journal

À l’instar des nécessités naturelles humaines, déverser ses contraintes et ses peines, ses frustrations en déconfitures et autres déceptions vraisemblables sur papier/écran ; les introvertis insomniaques libèrent ainsi de la matière grise conçue pour trouver des solutions créatives originales et non pour ruminer l’irrésolu. Un usage contraignant que les thérapeutes emploient usuellement avec leur patientèle.

Traiter l’anxiété

Les traitements sont nombreux que l’on abordera du point de vue moins allopathique plus avant. La prise médicamenteuse lors d’épisodes anxieux préfigure l’aptitude à l’ensommeillement néanmoins, il convient de rappeler que les antidépresseurs sont à distinguer des neuroleptiques sédatifs. Ceux-ci n’induisent pas d’endormissement et reposent fréquemment sur la conduite de la « recapture » de sérotonine (les inhibiteurs sélectifs). Les introvertis subissant de l’anxiété y gagneraient en qualité de vie.

Changer sa vie

Quelquefois, le sommeil tardant à s’annoncer indique simplement que l’introverti se lasse de ses modes d’évolution, que l’absence de motivation existentielle atteint un système nerveux désormais en hypervigilance ; que trop d’introvertis déplorent à force d’accepter une concession lentement advenue soumission. Il suffit quelquefois de refuser, pour libérer un esprit d’introverti privé de libre arbitrage.

Retarder l’heure du coucher

Une astuce qui permet aux introvertis touchés par un épisode insomniaque de recouvrer un sommeil limité par un horaire de réveil en revanche strict, demeurant inchangé. Les introvertis qui pâtissent d’insomnie, livrant une bataille sensée contre cette dernière, contrarient les effets des réveils précoces par cette technique éprouvée des spécialistes du sommeil.

Dédramatiser l’insomnie

Tous les conférenciers experts en neurosciences des troubles du sommeil sont unanimes : cela n’est pas si grave, l’on dormira mieux demain… facile à affirmer néanmoins, il est fondamental de ne pas augmenter la charge anxieuse par l’ajout des craintes de lendemains épuisés d’introverti privé de sommeil. Beaucoup se répéter que la vie est eurythmique, autant ne pas l’inférioriser par habitude ruminante.

Adopter une routine joyeuse

Simple et complexe simultanément, l’on tourne le dos irrévocablement aux soirées que l’introverti sélectionne faute de mieux en conscientisant une routine anxiolytique. Tous les soirs devraient ressembler à s’y méprendre à un jubilé, que l’introverti simplement conscient de sa santé mentale fragilisée en manque de sommeil prévient, et les choix restent multiples : rire, divaguer, détendre sa psyché d’introverti en consommant des contenus légers et enrichissants.

Désamorcer l’hyperstimulation

Attendue lors d’épisodes insomniaques que les introvertis mentalement hyperactifs éprouvent presque quotidiennement : comment, dans ces conditions, éviter les relents de cortisol liés au stress que l’on déplore oxydatif ? Les risques polymorphes s’inscrivent ainsi dans la manifestation d’insomnies provoquées par manque d’anticipation. Si un introverti s’éprouve hyperstimulé, c’est qu’il traverse un état d’épuisement qu’un repos strict résout.

Pas plus de 2 verres de vin

Hélas, les introvertis amateurs de bons crus nécessitent d’abandonner la bonne chair nuisant au sommeil de qualité : les réveils précoces, malgré un endormissement incité par la consommation de spiritueux, exécute un éveil fragmentaire soutenant peu le ré-endormissement.

Lever à heure fixe

Même si l’introverti anémié par de longues nuits sans sommeil ne dépasse pas la charge de fatigue induite par l’insomnie ; un conditionnement modeste consistant à la contrainte d’un réveil habituel, exposant aussi à la lumière du jour, favorisant le rythme circadien régulé, induit à terme un sommeil d’introverti de meilleure qualité.

Prendre un bain chaud

Pas juste avant le coucher : le stress étant catégoriquement davantage jugulé par quelques stratégies de détente instantanée que le bain impulse. Avant son dîner, l’introverti délassé dans une baignoire moussante achemine une décharge de bien-être qu’une soirée rondement conduite mène l’introverti à la nuit paisible.

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Restriction hydrique

Y compris les tisanes, sauf si elles contiennent un sédatif naturel et modérément en effet… pas d’eau plusieurs heures avant le coucher non plus : car le sommeil induit une hormone mettant au repos le système rénal qu’une consommation d’eau met en échec.

Boire un lait chaud (tryptophane)

Précurseur de sérotonine, le lait chaut de bonne-maman demeure en réalité une option si la prise reste de quantité raisonnable afin de limiter le réveil urinaire nocturne. Les introvertis se sachant stressés adopteraient ainsi un remède de grand-mère pas si saugrenu.

Induire la sérotonine

Ce neuromodulateur d’une santé mentale dont l’introverti non dopaminergique nécessiterait de favoriser journellement. Notons que la banane, le sésame, le tofu et beaucoup d’autres aliments contiennent du tryptophane, et qu’un régime alimentaire promouvant l’équilibre sérotoninergique prévient les épisodes stressants en les contenant par équilibrisme.

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Se former à la naturopathie du sommeil

Rien de bien sectaire, rassurons les introvertis cartésiens dont votre hôte, il s’agit d’anxiolytiques non allopathiques ; comme griffonia simplicifolia, valériane, passiflore, houblon ainsi que de nombreuses huiles essentielles que des enseignes multiples aujourd’hui proposent aux introvertis insomniaques occasionnels spécialement.

Se supplémenter en mélatonine

Celle-ci ne s’avérant béquille qu’au long cours, il convient à l’introverti insomniaque d’une prise régulière permanente, simple à implémenter et efficiente sur le cycle circadien en décalage. La mélatonine a sauvé et continue de préserver des millions d’individus de nuits ravagées d’éveils cortisols.

S’isoler émotionnellement après 19:00

Non au bulletin d’informations anxiogènes ni aux vidéastes catastrophistes, il convient à l’introverti de consommer des contenus éveillant l’enfant intérieur et ses besoins quotidiens d’expression. Tous les introvertis qui s’apprécient convenablement ajoutent à leur quotidien une dose de légèreté insouciante que les actualités abstiennent.

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Programmer un documentaire soporifique…

…. Ou bien un film

Les porteurs d’autisme agissent ainsi : ces derniers regardent un programme aux prédictibilités apaisantes, inlassablement, sans aucun souci. Les introvertis non concernés par l’autisme néanmoins marqués en introversion opteraient par conséquent pour une stratégie accessible consistant à visionner un programme neurodépresseur, il en existe de multiples.

Quitter la personne ou la situation toxique

Une évidence peu manifeste ni aisée : partir ou bien ne plus dormir ? Un introverti malheureux risque bien davantage que les autres majorités plus ambiverties d’extraversion, de ne pas recouvrer une santé mentale favorisant un sommeil de qualité. Le corps s’exprime et indique qu’il nécessite de tout bouleverser.

Consulter…

Les psys, tous, exercent un métier formidable s’il est appréhendé humblement : dommage que de nombreux professionnels de santé mentale soient encore et toujours trop humains pour envisager leur fonction dénuée d’égo ; cependant, dans sa quête du bon aidant dirigée avec persistance, un introverti insomniaque serait ainsi récompensé d’une aide impossible à compenser.

TiS

Images, merci à c ottonbro studio