ISFJ ou bien ISFP ? Nos sources exclusives indiquant plutôt INFP voire INTP contrarié, autopsions ensemble la personnalité complexe et introvertie du partisan orwellien occulte, Prince R. Nelson

Comment l’outrance des feux de la notoriété peut-il consumer une vie ? Voici une biographie libéralisée clandestine d’un parcours public pourtant méconnu ? Et, si l’habit déshabillait ce moine tardif ? Décryptons les apparences. Variation adulte d’enfance maltraitée.

Contexte Social et Familial

Apartheid états-unien et violence intrafamiliale

1957 : Les États-Unis des « Neufs de Little Rock », reste inconcevable pour le Français le plus réactionnaire, voire xénophobe. Ces états pas si unis pour le pire en tirent si peu de lucidité qu’il convient de recontextualiser la naissance de l’introverti Prince, c’est son véritable prénom, bien que composé, ce dernier détail, fondamental néanmoins ; symbolisant le personnage Prince Rogers que ce père violent et volage, pianiste frustré et inconnu, jouait à la scène. L’introverti Prince a reçu de ce géniteur la mission d’incarner ses aspirations, de venger ses ratages, lui intimant l’ordre implicite de personnifier la gloire de ses injustices intimes. Des stigmates comportés par de nombreux peuples, plaies des colonisations et autres dominations d’un Hégémone sur l’autre, que l’occident tortueux débite dorénavant. Ségrégation, rejet, humiliation, harcèlement furent le lot quotidien de tout individu né d’ascendance africaine aux USA. 1964 : le « Civil Rights Act » valide mollement ces injustices ; le juvénile introverti bientôt vedette, n’a peut-être pas d’autre choix que de dépasser des bornes inadmissibles de ses cognitions dont il convient d’admettre l’atypie, celle d’un introverti belliciste par amende transgénérationnelle. La voix d’une voie toute tracée, au libre arbitrage regrettablement détourné.

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L’égo princier : un libre arbitre contraint

« Tu seras instable, séducteur et mondain, mon fils », et l’introverti Prince assujetti par une paternité projective, cruelle psychologiquement et pas que ; car aucun enfant battu, aussi célèbre soit-il, ne sort indemne de ces ratures psychiques indélébiles avec lesquelles l’introverti Prince a dû composer un personnage à la résilience de façade. Une programmation parentale que l’introverti Prince affronta avec le courage du vaillant jeune soldat, arborant la physionomie narcisséenne du père rageur, maltraitant son petit garçon, sans compassion, ignorant tout de l’amour qu’un papa protecteur suppose. Ces figures peu paternelles ont abandonné des générations d’hommes introvertis et certainement autant de femmes introverties ; abîmés par une parentèle toxique, irresponsable, brisant des existences quasi in utéro. Quant à la mère, si sa fonction ne lui impose pas de protéger son enfant, cette dernière contrefait ainsi un rôle complice, mal identifiable sans aide extérieure.

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Entrepreneur-travailleur forcené précoce

D’abord, musicien et vocaliste hors norme, l’introverti Prince, adolescent hébergé par une connaissance, le trop jeune introverti Prince violenté et abandonné ; n’omettons pas qu’aucun enfant n’est supposé loger chez des proches, aussi rapprochés soient-ils. L’adolescent introverti à peine pubère mène une scolarité brillante, abdiquée en faveur d’une étude musicale prometteuse, dont nul n’ignore la précocité. Revoilà ainsi l’introverti Prince désargenté, occupant tristement la cave d’amis – à l’âge des insouciances et de l’argent de poche exigé autant que des ingratitudes nébuleuses – répétant inlassablement une pratique instrumentale à un niveau remarquable de tous. L’ambition sans faille du jeunot introverti, cloisonné dans sa revanche induite, conduisit le reste. La suite, tout le monde la connaît, signé chez Warner avant l’âge légal de consommation d’alcool, privant l’auteur de son catalogue quelques années plus tard ; Prince, l’introverti, a délivré souvent anonymement des centaines de pièces, quelquefois cédées à des myriades d’individus plus ou moins remarqués médiatiquement ; comptabilisant des succès à la pelle, amoncelant des royautés à la hauteur de sa majestueuse dépression, contenue partiellement… Les excès d’une gloire décevante, pas si rassasiante ? La suite ? Des amours paillettes et les amitiés qui vont avec… Un revers de médaille amplement prédictible.

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Androgynie — un maître faussement insouciant

En chef d’entreprise conscient des enjeux de tels commerces aux montants astronomiques en jeux, l’introverti Prince promut son image à l’instar de toute multinationale capitalisée et cotée. L’introverti Prince boursicote quelques mauvais chevaux, y perd des billes considérables, mais s’attache à remonter de nombreuses pentes infranchissables. Loin des starlettes et autres roitelets à la M. Jackson et autres E. Presley, menés du bout du nez par leurs éditeurs véreux ; le maestro introverti Prince Nelson s’impose à l’égal des ronds-de-cuir faisant la pluie et le beau temps de ces industries frivoles, du moins en apparence. Se dissimule un univers féroce, lequel a dû s’acclimater à cet homme, mature en négoce, s’ordonnant à égalité de ses décisionnaires, bientôt évincés. L’introverti Prince, pratiquement mafieux, désormais faiseur et défaiseur de carrière, bien que reconnu pour son éthique et sa justesse relationnelle, a vraisemblablement blessé autant que soulagé. Illusionniste ? Assurément.

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Neurodiversité patente : un génie isolant ?

Tous des « propre-à-rien » comparés à Prince ? Si indulgent des incompétences de maints, par crainte de solitude ? Indiscutablement. Multi-instrumentiste décomplexé, ultra-bidouilleur, sacheur émérite, sachant programmer tout et n’importe quoi, voire qui, technicien hors classe, l’introverti Prince embauche et surpasse ses ingénieurs du son en 3/8 ; remplaçant TOUS les musiciens en studio après les avoir enregistrés, pionnier innovant notamment vers le digital, cet introverti princier cache sûrement un INTP mal individué. Ou bien tout simplement un idéaliste masqué en charmeur, INFP de devanture, selon toute vraisemblance. Bien qu’ayant entamé une carrière volontairement sulfureuse, rappelons le contexte des années sombres d’apartheid états-unien et des mouvances hippies aux révolutions dites sexuelles, menant à la confusion une jeunesse sous influence, à l’instar de toute génération chacune en son temps. Celle de Prince, introverti, assez timide en privé, socialement inhibé ; n’ayant plausiblement jamais franchi aucune ligne rouge en coulisse quand tous ses collègues, en cette industrie malaisante, déplorent des affaires de mœurs, l’introverti Prince mange des douceurs en solo et passe son temps à travailler… orphelin, esseulé. Les opiacés ? Nulle caution de vérités médiatiques, tout le monde mérite une retraite paisible, même quelques « stars » acquièrent le droit à l’oubli en temps voulu.

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Célébrité versus banalité : un aveu pas si clandestin

L’introverti Prince ne se rêve-t-il pas astrophysicien dans sa juvénilité, une passion contenue, pianiste de jazz les dimanches ; voire, professeur de guitare au conservatoire du coin, père de famille nombreuse, peut-être à la montagne, puisque survenu du froid minneapolitan ? Dissuadé de poursuivre sa nature modeste par quelques ascendances parentales bien induites ? Parce que, ceux qui se sont intéressés au phénomène Prince, éprouvent que se déguise, au verso de sa parure dorée, une simplicité abâtardie, que la créativité permet d’adoucir. Prince, l’introverti, préfère le jazz et à toute discipline, son piano consolant. Quant au classique et ses arduités, une étude personnelle semble inévitable, bien que privée, cet introverti en quête de souveraineté, tant et si perfectionniste, s’affaire sans relâche, comme pour fuir des démons des passés. Des circonstances en leçons certainement apprises, si l’on se fie aux dernières manifestations disquaires de l’introverti Prince, lesquelles indiquent, sans ambiguïtés, des conclusions tranchées sur la question de sa filiation et de sa toxicité.

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Début et fin de vie mystique : parricide de l’égo princier

Complotiste, Sieur Nelson ? L’introverti Prince ne nie pas l’atmosphère dystopique auquel tout individu doté de méninges, même médianes, confronte et compense involontairement. Son opus post départ à la retraite s’avère typique en la matière. L’introverti Prince a constamment désigné ses intimes convictions spirituelles et autres manifestations supranormales : épileptique, l’enfant introverti qu’il fut raconte en un élan évocateur qu’une présence lui a confirmé une rémission permanente, consignée par sa famille. Chacun le constatant de facto, à la faveur des illustrations de ses productions, que bien sûr, l’introverti Prince supervise jusqu’au moindre détail, puisque gérant sa multinationale directement ; l’un des secrets les plus mal gardés de l’industrie du disque et spectacle dit populaire. Ledit introverti Prince, proclamant sans appréhension ce thème hautement glissant à l’ère des fact-checkeurs médisants, signifiant sa médiumnité, son aboutissement inéluctable, son troisième œil ouvert et ses multidimensionnalités ascensionnelles. Conscient d’une fin inexorable, l’introverti Prince prédit la sienne qui n’en est qu’à son balbutiement. Un Prince plus animé qu’autrefois, libéré de fardeaux enchaînés à sa persona, enfin délesté des pesanteurs gravitationnelles et de leurs attentions inquisitrices, grisé de vie. Enfin, le roi naît. Il n’est jamais trop tard pour authentiquement siéger sa vie.

TiS

https://www.cairn.info/black-america–9782707175502-page-181.htm