Comment déterminer à coup sûr que cet introverti est plus Penseur qu’Émotionnel ? Suivons ce guide (Intj)

Dissemblance plus ardue à déterminer chez les introvertis que chez les porteurs de tempérament davantage ambiverti ou extraverti, ces derniers projetant mieux des informations d’ordres personnelles que les secrets introvertis. Ces discrets le demeurent jusqu’à leur constitution profonde que ces natures réservées économisent en faveur des proches entourages et familiers ainsi, serait-il possible de deviner si un introverti prend ses décisions en fonction de ses sentiments ou bien de ses raisonnements ? Proposition.

Note d’attention : introverti ≠ ambiverti (extraverti)

Naturellement, tous les introvertis penseurs ne pratiquent pas un langage hermétiquement destiné à leurs cognitions, c’est une idée sotte et grenue. Autant que d’envisager sérieusement que les profils introvertis dits penseurs n’emploient jamais d’affect et que les introvertis émotionnels ou ressenteurs n’usent pas de pragmatisme ! Nous envisageons ici l’hypothèse avancée par les auteurs d’échelles psychométriques employant la psychologie jungienne pour archétype, qu’à l’instar d’une main préférée (et pas d’un hémisphère = pseudoscience) ou bien d’un pied favorisé ; l’humain décide et tranche selon une préférence cognitive particulière laquelle en augmente ses pouvoirs. Rappelons ainsi que les ambivertis se déclarent eux-mêmes largement majoritaires et que les introvertis singulièrement marqués en introversion semblent de cette manière ; moins surreprésentés au sein des agencements neuraux particuliers que l’on retrouve souvent chez les porteurs de condition neurodivergente. Une diversité riche d’elle-même, adjuvant une abondance de points de vue originaux de ces multiples individualités que l’on ne saurait autrement qualifier que spécialement singulières.

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Utile professionnellement, socialement et affectivement

L’échelle jungienne populairement usitée demeurant le MBTI®, la nomenclature, compréhensible de tous, fait ainsi état de huit sortes d’introvertis, proposés de cette manière : ISFP – ISTP ; ISFJ – ISTJ ; concernant les profils sensoriels suivis des introvertis intuitifs : INFP – INTP ; INFJ – INTJ. Ces agencements spécifiques de chaque type n’indiquent d’aucune façon qu’ils sont empêchés de s’appuyer sur l’ensemble de leurs facultés ou fonctions cognitives, d’autant plus que la maturité aidant ; les introvertis savent parfaitement permuter et trancher autrement puisqu’il s’agit de processus décisionnels et certainement pas de prédictions comportementales. Les INTP tout autant amoureux ou émerveillés ou tristes que tout un chacun néanmoins ; ces introvertis prennent leurs décisions et agissent sur une impulsion que la pensée surtout introvertie (Ti) leur avantage et les introvertis ISFP pour l’exemple, exploitent leurs ressentis intimes (Fi) à ces mêmes fins. Si chaque introverti conscientise ses routines, communiquer entre introvertis se simplifie prudemment, si l’on opte pour un déchiffrage assaini, tous purifiés par une bonne connaissance des choix involontaires en cette matière ; au travail ou en famille, tout échange se pacifie si l’on sait à quel introverti l’on a exactement à faire.

11 Indices Langagiers Différenciant

Les Introvertis Émotionnels Des Introvertis Penseurs

1 – « Je crois que… » Versus « Je sais que… »

Les introvertis penseurs nomment rarement leurs éprouvés, principalement parce que nombre d’entre eux y accèdent via d’autres canaux et à des fins dissemblables desdits ressenteurs. De la sorte, l’introverti émotionnel emploie volontiers le champ des affects, connoté en quasi chaque conviction, assemblé à ses ressentis profonds alors que l’introverti penseur tend à l’inverse, c’est-à-dire dissocier une indication vérifiable ou vérifiée. Les introvertis émotionnels et penseurs relèvent ainsi d’une forme d’opposition cognitive, discernable jusque dans le choix lexical.

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2 – « Que ressens-tu ? » Versus « Que penses-tu ? »

À décliner en vouvoiement ou non, ou bien familièrement ou pas… Les introvertis émotionnels prennent au sérieux et s’attachent à s’appuyer sur des ressentis, qu’ils soient subjectifs, à l’instar des ISFP et INFP ou plus conscients des énergies environnantes comme les ISFJ et des INFJ aboutissant à une conclusion ; quand les autres introvertis comme les ISTP et INTP auront à l’esprit de déduire intimement un crédit que les introvertis ISTJ et INTJ sourcent à des fins de vérification.

3 – « Quelle catastrophe ! » Versus « Ce n’est pas irréparable ! »

Encore une fois, il ne s’agit pas d’une phrase littérale, mais une illustration symbolique des agencements cognitifs en chaque type d’introverti. Les introvertis qui ressentent leurs décisions tendent à s’appuyer sur l’émotion en relation avec l’événement : un problème signifie donc une anxiété verbalisable, partagée ou non selon le profil cognitif. Tandis que l’introverti penseur tend à chercher immédiatement ce qu’il est plausible d’organiser. Puisque les données environnantes livrent des informations que les introvertis penseurs analysent mentalement, évitant soigneusement le champ émotionnel au moment t que les introvertis émotionnels suivent spécialement pour avancer.

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4 – « Je suis déprimé… » Versus « Je suis fatigué… »

Un introverti ressenteur dispose d’un accès privilégié à ses états internes, en particulier ceux dédiés aux émotions maîtrisées et embrassées significativement, ainsi qu’en certaines mesures, aux ressentis des autres. En revanche, les introvertis dits penseurs s’appuient sur une donnée purement observable : un abattement que la lassitude ou bref passage dépressif secondaire génère universellement. Cette dissemblance en apparence mineure livre une indication permettant d’intégrer ces éléments lors de futures communications entre introvertis non-directifs et intelligibles.

5 – « Que souhaites-tu ajouter ? » Versus « Que peux-tu ajouter ? »

Bien entendu, il arrive couramment qu’un introverti émotionnel emploie une reformulation moins émotive et qu’un autre introverti plus penseur s’attache à courtoisement emprunter le verbe désirer. Cependant, l‘on ne saurait nier qu’il s’agit bien d’une préférence cognitive machinale des deux typologies d’introvertis, lesquels ressentent ou pensent davantage la majeure partie du temps. Les introvertis ressenteurs éprouvent régulièrement le besoin d’échanger émotionnellement, canal par lequel les décisions sont filtrées alors que leurs opposés agissent autrement, non sans possible ou bien probable complicité, comme de bien entendu.

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6 – « J’aime bien ! » Versus « C’est très bien ! »

Exalter : ce verbe se retrouve dans le vocabulaire de l’introverti émotionnel qui ressent une joie tandis que son homologue introverti penseur s’attache à la saisir psychologiquement, quelquefois avec détachement ; ou bien gravement ou encore en toute neutralité, ère favorisée des introvertis employant la pensée extravertie à des fins décisionnaires, en première intention. Les introvertis émotionnels et penseurs restent des introvertis extrêmement distincts dans leurs polymorphismes. C’est certainement pourquoi nombre d’entre eux ne reconnaissent pas foncièrement leur appartenance à ce tempérament.

7 – « Je rencontre un problème. » Versus « Je trouve une solution. »

Les introvertis penseurs, et tous probablement, demeurent des individus orientés vers la recherche de solutions originales, aux influx nerveux surabondants, livrant aux obstacles un combat armé d’une créativité utilitaire. Alors que les autres introvertis, bien que tout aussi inventifs, mènent des sentences établies sur l’émotion que suscite l’événement déplaisant ou supporté. Une pas si micro-divergence pourtant fondamentale dans la manière dont ces introvertis organisent leurs communications, quelquefois mal discernée des uns et des autres.

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8 – « Comment te portes-tu ? » Versus « Comment vas-tu (ça va) ? »

Une agréable habitude que cultivent quasi mécaniquement les introvertis au profil plus émotionnels aptes à s’enquérir et à déchiffrer spontanément les ressentis de leurs interlocuteurs ; ces introvertis coutumiers du lexique convenant à cet exercice que les introvertis plus penseurs moins à leur aise avec ces informations relevant d’une taxinomie étrangères de leurs aptitudes naturelles ; ces dernières ayant développé d’autres stratégies en la matière : conseiller pratiquement, ou bien proposer une aide utilitaire en cas de soupçon de difficulté !

9 – « J’ai besoin d‘aide, merci. » Versus « Je m’en sors, merci. »

Un introverti penseur tente envers et contre toutes et tous de résoudre rapidement tout épanchement réversible, sans trop s’apitoyer, voire en maugréant un peu : c’est probablement la raison qui justifie une préhension fautive de leurs intentions, spécialement des profils introvertis (ou non) émotionnels aux besoins communicatifs perceptibles. Moins sentimentaux en apparence, les introvertis penseurs semblent distants alors qu’ils fonctionnent autrement en trouveurs de solutions ; ces derniers bien introvertis et peu habitués à envisager de formuler la moindre demande d’assistance, assurément. Par contre, les introvertis ressenteurs détectent et proposent des appuis émotionnels autour d’eux et balancent cet aspect en premier.

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10 – « Courage, ça va s’arranger. » Versus « Tout va bien, ça se gère. »

Les introvertis émotionnels demeurent les individus les mieux conjecturés en matière de soutien psychologique et émotionnel : toujours une phrase bien construite prête à dégainer lors d’une panne psychique ou d’un achoppement douloureux ou non, ces introvertis, rois en la matière, relient avec aisance toute affliction avec une émotion. Quand les profils d’introvertis, plus penseurs, se limitent à agir mentalement dans le sens d’une résolution rapide et effective de tout obstacle, catégoriquement ?

11 – « Me comprends-tu ? » Versus « M’entends-tu ? »

Encore une fois, rappelons que les deux profils d’introvertis emploient indifféremment les deux expressions. Toutefois, les introvertis dits penseurs, peu annexés sur leur cœur symbolique, tendent à chercher une communication efficiente, reformulant à l’envi une idée quelquefois ferme, il faut bien l’admettre. Les profils d‘introvertis plus émotionnels de leur côté s’appliquent à contourner les remaniements intellectuels en faveur d’une tournure évoquant telle ou telle émotion. D’ailleurs, les introvertis ressenteurs se nourrissent de leurs affects lorsque les introvertis, plus penseurs, s’en éreintent…

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11′ « J’aime… » Versus « Je pense... »

Un introverti penseur « espère » tout autant, néanmoins, l’administre diversement par des canaux abstenant soigneusement une pénitence bioénergétique, qu’exigent les émotions ; et leur déchiffrage ardu en certaines circonstances quelquefois, voire toujours pour certains introvertis penseurs déconnectés de cet aspect de soi. Cet Amour si universel dessert quelquefois certains humains, singulièrement introvertis bien que Vecteur d’énergie en faveur de tous. Les introvertis aux profils émotionnels s’en ravitaillent abondamment et y abandonnent parfois un pan d’intégrité en système de valeurs, que les introvertis penseurs protègent tantôt radicalement. Une complémentarité possible ou obstacle, plus souvent, l’acception absolue de soi déblaye un champ communicationnel inaccessible sans respect de soi et des autres, notamment introvertis. Je t’aime ? Les introvertis penseurs l’affirment sans doute autant, mais surtout : ces introvertis le pensent. Vraiment.

TiS

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