Divorcer de son célibat subit ou bien intentionnel

La pandémie de célibat, probablement chronique chez les introvertis, demeure une constante que de nombreux sites de rencontres exploitent quelquefois peu scrupuleusement. En effet, évidemment, nul ne saurait contraindre l’humain à vivre aux antipodes de son penchant légitime à la vie de couple et à sa quête du conjoint antidote. Portrait en pied.

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Tomber amoureux : LA métaphore impropre

L’on ne dégringole pas en glissant sur la peau de banane amoureuse : cela ne s‘exécute pas ainsi chez l’authentique introverti, trop introspectif et conçu tout en réserve et en précaution pour chuter de la sorte sur le premier glissement qui passe. Si le cerveau d’un introverti s’avère plus complexe et ses sentiments à son acabit, cela indique simplement de ce fait que l’expérience des attachements prend forme diversement chez l’introverti. Et, ce, quelles que soient ses préférences cognitives, selon toute vraisemblable littérature consacrée. Chaque introverti demeure une individualité dont la sentimentalité et les affects se lient chacun à sa manière ; et l’on éprouve sur ce site que les facteurs environnementaux jouent et rejouent une pièce de théâtre sinistre qu’il convient de distinguer nettement afin d’éviter les sinistres scénarios à répétition.

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L’amour selon le tempérament introverti

Selon toute vraisemblance, l’introverti atermoie la notion de coup de foudre, surtout si l’introverti raisonnable et modéré s’en méfie prévisiblement. Effectivement, la chimie des introvertis s’harmonise davantage avec la biochimie des amours durables, que l’ocytocine promeut. Les passions des premiers saisissements – sauf envers la chimie de quelques introvertis, il existe invariablement des exceptions confirmant tout aphorisme – sont passablement aliénantes, voire inquiétantes : trop d’ardeur indispose maladivement l’introverti si discret chimiquement, dont la quête du complice absolu complexifie la sentimentalité : les amourettes et les babillages préliminaires apparaissent rédhibitoired aux introvertis marqués en tempérament (à ne pas confondre avec les porteurs de timidité ou d’anxiété sociale). Il est probable que les introvertis s’élancent maladroitement dans la quête amoureuse banale tout en excellant dans l’art de maintenir une flamme incandescente, d’où le célibat forcé et la longévité en couple des introvertis plus chanceux. Ce site regorge de publication portant sur ce thème ô combien houleux.

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Les introvertis aussi photocopient le lien maternel

Comme tout le monde, déplorablement : c’est communément le modèle matriarcal qui est réinterprété involontairement par nos inconscients féminins et masculins introvertis : une mère transmutatrice de schèmes toxiques autant que ses problématiques à ses enfants, reste ordinaire, presque inéluctable. La relation primale demeure le prisme maternel très imparfait, ou bien la désaffection d’un premier aidant originel ; nécessitant un éloignement par un travail sur soi assisté ou bien par une démarche d’individuation personnelle. Que demande une prise en charge de détachement, avec ou sans thérapie ! Ce site encourage la psychothérapie pour tous, dès le plus jeune âge, qu’une incitation devrait appuyer dès la petite enfance, lors des premières années d’obligation d’instruction, au même titre que la lecture et l’algèbre. L’atavisme demeurant la première cause d’échecs humains.

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Induire le lien ocytocinergique avec l’introverti

La pérennité du lien complice s’avère nécessaire à l’épanouissement du lien soutenu par un influx neural adéquat chez l’introverti ; puisque les sensations n’ont en réalité que peu d’influence sur les psychés d’introvertis, rebutées biochimiquement par la dopamine, carburant ou pépite neurohormonale des neuro-plus-typiques. Les introvertis, notamment les plus marqués en tempérament, dévoilent parcimonieusement les pièces d’un puzzle ardu à assembler : c’est au fil du temps que le partenaire d’un introverti découvre toutes les caractéristiques d’une personnalité probablement atypique ni usuelle, voire insoupçonnable. La réserve des introvertis en a surpris bien des nombres, et la temporalité allongée ajoute une couche à chaque découverte du moment. Peu d’extravertis, étalant tout et n’importe quoi ou qui, tout le temps, envisagent que ces personnalités si cryptiques se révèlent si flamboyantes et remarquables à terme.

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Un partenaire amateur

Seuls certains individus conscientisés et porteurs de complémentarités observent avec justesse l’introversion et ses émissaires introvertis. Toutes les introversions ne se ressemblent pas et quand bien même cela serait le cas, peu de personnes savent contrarier la facilité afin de découvrir, après moult atermoiements, un potentiel sentimental illimité chez l’introverti sur la réserve, quelquefois longtemps. Un introverti amoureux mène un combat sans merci contre la médiocrité des unions de surface, tant privilégiées de certaines catégories d’individus, épuisant leurs cartouches en de vaines associations aux édifices chancelants ; dont les valeurs n’ont quelquefois pas même été échangées, en amont de vœux aussi fins que du papier à cigarette : un laid poison.

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Un partenaire renforçateur

La probabilité d’échec semble inévitable si le compagnon potentiel de l’introverti lui exige de se masquer, même partiellement : un introverti amoureux saurait évidemment envisager de s’adapter à une contingence passagère, toutefois, autant ne pas se leurrer, un introverti mérite le soutien inconditionnel de son autre, un complice véritablement magnétisé par ses aptitudes introspectives innées. Un augmentateur pour compère intime, induit une dynamique que tout introverti réclame quelquefois inconsciemment. Un besoin indispensable au lien durable, en compagnie d’un conjoint captivé par l’alternative introvertie : épanouissant son partenaire par complétude, loin des compétitions si appréciées et valorisées des expansifs en couple, si peu complémentaires à terme. La distinction des accords se révèle brillamment, alors que les deux composantes du couple achèvent une certitude d’assouvissement, un choix que le partenaire détonateur explose à la conscience de l’introverti lié sans idéalisation ; pour le meilleur du pire et inversement.

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Un partenaire locomoteur

Amateurs d’humains à strates, en couches accumulées, et autres originaux avertis et moteurs : un introverti pour conjoint vient sûrement chambouler des certitudes convenues ; aucun introverti ne refuse l’étreinte sincère d’un complice opposé. Une opposition en tempérament, évidemment, puisque l’unique ressemblance exigée en matière conjugale demeure celle des valeurs. Si ces dernières s’opposent, peu d’unions résistent à ces usures usuelles, dénaturant l’admiration respectueuse qu’un couple uni augure. En revanche, la contradiction énergétique de façade harmonise parce que tout ce que revêt l’essence entre l’introverti et son conjoint, se relie et fortifie sainement. Ainsi, l’introverti se marie à tout individu non masqué, sincère et surtout, apte à manifester dans la chair, ses hauteurs de point de vue, car rien n’est plus méprisable que celle ou celui psalmodiant un air à la musique trompeuse, dissonante. Les introvertis doivent se méfier des lucioles et autres feux follets.

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Selon la littérature, l’extraverti serait le partenaire idéal de l’introverti

Lorsque l’on observe les possibles compatibilités notamment dans le modèle MBTI®, l’on s’aperçoit que l’opposé voisin cognitif est en réalité un idéal parfaitement adapté aux nécessités et expectatives de l’autre : un couple INTJ/ENFP est donc une combinaison émulatrice et accomplie. On peut continuer dans la même veine avec toutes les personnalités introverties :

Observons ainsi les possibles livrés par le système MBTI®, à l’instar des opposés voisins cognitifs listés souvent en de multiples publications consacrées aux accords amoureux, que des comportementalistes humains spéculent inutilement : la complémentarité se détermine autant par déduction, en observant un autre type de voisinage cognitif, au sein des typologies identiques à savoir, entre sensoriels et entre intuitifs, par pure complémentarité. Inévitablement, l’extraverti s’harmonise parfaitement à l’introverti, comme annexe, insufflant une cinétique d’allant, extirpant l’introverti de ses arrières boutiques soupçonneuses et arrondissant ses angles aigus. Quant à l’extraverti, il bénéficie des aptitudes innées à l’attache indélébile, laquelle s’avère solide au fil des temps et de ses ères, que l’on éprouve éphémères envers les accouplements mal assortis. Or, l’introverti complète parfaitement un autre type d’extraverti, comme suit :

INTJ = Intuition Introvertie Ni, Pensée Extravertie Te, Sentiments Introvertis Fi et Sensation extravertie Se

ENTJ = Intuition Extravertie Ne, Sentiments Introvertis Fi, Pensée Extravertie Te et Sensation Introvertie Si

Puisque l’extraverti entraîne et l’introverti consolide, ce type d’union aux complémentarités constatables invite à l’édification heureuse d’une union exceptionnelle. Les fonctions cognitives se ressemblent à merveille, et leurs spécificités rendues fonctionnelles par leurs complétudes prédictibles. L’on s’aperçoit à l’observation du détail de l’agencement cognitif que l’INTJ et l’ENFP emploient les quasi identiques fonctions à des degrés décisionnels potentiellement avantageux ; en une union légitime et durable et fidèle (Fi), spécialement si les deux amoureux se respectent infiniment sans quérir la moindre influence séductrice. La vulnérabilité semble l’ingrédient clandestin scellant les amours complémentaires, sans parade ni envie, dans l’émerveillement mutuel certain.

TiS

Why Daughters of Unloving Mothers Struggle to Find a Partner : Peg Streep – psychologytoday.com