☠️ Quelle Vie Pour l’Introverti Sous Emprise ?

Quelles emprises contrent la victime introvertie d’un véritable pervers narcissique individuel et collectif ?

Savoir que l’introverti a peut-être dévoyé un pan, voire intégralement, sa vie est une bévue irréparable, une salissure ineffaçable. Et, cet indubitable sentiment d’injustice alors que l’on quitte la toxicité d’un manipulateur narcissique, ou bien d’un narratif destructeur. Une cible introvertie se perçoit déficiente ou incapable, puisqu’il s’agit d’un apprentissage, d’une voie neuronale à déprogrammer. L’introverti aboutit à adhérer à l’idée d’impuissance et de désamour, indigne de quelconque valeur… Coupables, les sources introverties dévalorisées de fourniture narcissique n’envisagent jamais à quel point et en quelle dimension d’empiétement, on leur a menti. Histoire d’un éveil ressuscitant.

Le gâchis de vies d’introvertis sous le radar

Ardues à révéler, la majorité des soignants n’est pas formée à repérer ces victimes spécialement introverties si amochées par un récitatif narcissique. Accusées d’agressivité par inversion, la proie introvertie de manipulateurs expérimentés et habiles prennent soin d’inverser la situation à son avantage. Ces derniers, scénaristes et acteurs machiavéliques hors classe, consomment froidement leur empathie, repérant les narrations plausibles, avec précision. Ces coquilles vides et avides agissent sans effort, imitant leurs proies introverties, silencieuses, soigneusement élues, choisies pour ces aptitudes incomparables à encaisser longuement, à endurer sans piper mot, désorientées. Que l’on soit un introverti engagé dans une relation affective préjudiciable ou bien enfant adulte survivant, ou bien encore hiérarchiquement soumis à l’un de ces égoïstes sadiques, les règles demeurent identiques. Les subsistances narcissiques introverties, sources de réassurance, survivent obligées à des règles propres, occultées et confuses, laborieusement identifiables. Tant nos sociétés postmodernes avantagent le rapport de force en faveur des agresseurs, de ceux qui disposent de moyens anti-utopiques à leur disposition en mesure de leurs tristes ambitions : une meute impie dénuée de piété.

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L’emprise domestique

Chez soi, chacun devrait se sentir aimé et au minima en sécurité. Se révélant pire qu’un bidonville chilien au beau milieu de la nuit ; rien de plus angoissant que l’insécurité projetée du narcissique. La cible introvertie désignée s’emploie comme miroir d’insécurités par le narcisse extrême en faiblesses refoulées, constitutives et irréparables puisque inaccessibles au conscient du bref projeteur. Répandant sa haine de soi, dessus ses sources narcissiques introverties ou non, néanmoins multiples. Le manipulateur pathologique s’inquiète de son apparence physique ? Il convient à l’introverti d’accepter obligeamment des critiques acerbes et de prétendre une perfection absurde, à l’instar d’un objet assujetti et dévalorisé quelquefois publiquement. Une perfection exigée, annihilant la proie introvertie (ou non, évidemment) de son humanité, de ses divergences, vidant l’essence et sa pulsion vitale. Les sources narcissiques introverties d’une personnalité malade meurent à petit feu, affamées symboliquement, tantôt littéralement ; traquées dans les moindres recoins, les butins redoivent manifester un comportement dépassant l’imagination du cerveau le plus pathologique. Une cible introvertie triangulée domestiquement, cette source de fourniture narcissique, parfois, se torture pour sauvegarder les apparences socialement acceptables du nombrilique. Accablée, la cible introvertie subsiste en hypervigilance, sans répit de détente ni de repos. La mise en esclavage psychique, conditionné par exténuation.

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L’emprise sociale et médiatique

Dystopique, voire absurde, dépassant l’entendement : une réalité banalisée, violente, déformée et informulée ; les repères mentaux de l’introverti et les rares soutiens extérieurs disponibles néanmoins, s’avèrent pourtant inaccessibles. L’organisation narcisséenne hégémonique en charge et dominatrice filtre et punit la diversité que l’introverti confus personnifie ; sombrant l’individu introverti dans une désintégration de soi par dissociation. Au point de ne plus avoir accès aux éléments intérieurs constitutifs du moi. Il n’y a rien d’autre qu’un huis clos psychique, sordide, infiniment enfermant, une cage rouillée dont l’introverti rêve de s’envoler. C’est bien évidemment ce qu’il conviendrait d’agir, avec force cependant, comment saillir des ressources introverties si internes, tant bâillonnées biochimiquement ? Effectivement, les tempéraments plus ambivertis savent communiquer leur constat d’inquiétude, tandis que l’introverti risque une perte d’énergie infinie à différer l’atteinte d’une main tendue. Les ailes coupées, en réchapper invite un véritable parcours du combattant. La source introvertie de fourniture narcissique s’impose des rationalisations ou des dissonances cognitives collectives en prétexte abstenant les cibles introverties de regarder en face la matérialité tangible de la situation. La victimologie explique parfaitement ces processus identificatoires, freinant le collectif divergent victime, dans sa prise de conscience.

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L’emprise affective et sentimentale

La frustration des fausses promesses dont l’introverti assoiffé de bonheur se convainc, ces dernières saupoudrées de doutes habilement distillés, non sans bluff ni tromperie. La comédie conjugale en ligne de mire ne sied pas aux gabarits introvertis, flottant en ces guenilles ajustées à des chromosomes d’hyposensibles, majoritaires… Gardant sous emprise un butin introverti dont le rôle familial se rejoue fatalement. Les victimes introverties de narcissiques s’unissent ou épousent le parent abuseur pour le pire, omettant des signaux évidents d’échecs, répétés jusqu’à l’acceptation inconditionnelle de soi et de sa mission d’introverti : se respecter en premier. Limité à l’esclavage mental et quelquefois davantage physiologique, ayant pour spécificité de lier une psyché introvertie, désormais déséquilibrée, à son tortionnaire.

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L’emprise technologique

Étatique ou individuelle : les égocentristes dont l’attachement déviant se traduit par un contrôle systématique de ses sources narcissiques introverties (généralement plurielles selon les littératures foisonnant sur l’internet) abandonnent peu de liberté mentale à ces dernières. Un monitorage minutieux de chaque geste, les nombrilistes « stalkent » c’est-à-dire, traquent à des fins d’assujettissement dominant. Harcelant leurs sources de fourniture narcissique, singulièrement introverties : toutes les technologies digitales agréent de receuillir toute communication, SMS compris, et d’épier toutes les conversations de sa proie introvertie dont l’intuition hurle en sourdine. Tout est filtré, les courriels lus quelquefois effacés, la vie professionnelle cible de destruction, en sabotage, niant à l’introverti son individualité, son libre arbitrage, voire sa dignité humaine. Nulle intimité, une voiture tracée par GPS, quant au compte bancaire méticuleusement analysé, l’argent quelquefois confisqué, compte-goutté est hyper supervisé. Une martyre introvertie manifestant des symptômes de stress traumatique, permanents, au long cours pour longtemps.

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L’emprise traumatique

La peur, cet outil coercitif commode : les fournitures narcissiques spécialement introverties s’abstiennent de méditer : menant aux addictions, échappatoires évidentes en telles circonstances. Tant le trauma répétitif bloque la machine à espérer. Les désirs plus abordables et essentiels restent irrévocablement inaccessibles à la psyché endommagée. L’introverti dénié se noie en une rumination dysfonctionnelle de pensées intrusives limitantes et ses ressources intérieures, broyées. Les fournitures narcissiques introverties nécessitent d’administrer une anxiété invalidant un quotidien organisé autour des excès d’angoisses résiduelles des traumas réitérés. Perdant toute attente de changement, en une solitude insupportable. Sous-estimées, fragilisées et perdant pied, le nombrilique philanthrope triomphe sur le terrain du paraître, face à une proie fragilisée, que l’on ne croit pas. Les dégâts considérables des cicatrices invisibles prescrivant des conduites à risques, des victimes automédiquées par moments jusqu’à la toxicomanie, introverties, détruites et incomprises, stigmatisées et abandonnées, méprisées, injuriées, dans l’indifférence la plus abjecte. Des victimes introverties, chroniquement dépressives, exposées à un fratricide que protègent ses apparences.

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L’emprise psychique

Un conditionnement précoce avantage les tournures dramatiques des introvertis survivants d’abus précoces. Une famille toxique prédispose tout individu à la répétition du scénario irrésolu, précisément l’introverti dont les ressources externes demeurent davantage inaccessibles que chez les tempéraments plus ambivertis. Rien ne figure, personne ne doit soupçonner les dérèglements perpétrés que l’introverti choisi pour sa divergence, contient, à l’instar, entre autres, du bouc émissaire, production que l’humain favorise cruellement à des fins expiatoires, quelquefois impitoyablement. Ces cerveaux déséquilibrés métamorphosent leurs sources intarissables introverties notamment, en automates disloqués. Le processus d’individuation de l’introverti désintégré progressivement par tyrannie, fruit des craintes du manipulateur pathologique dont le développement psychoaffectif s’établit et stagne autour de l’âge de cinq ou six ans tout au plus, guère mieux.

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L’emprise gaslighting

Combien de femmes et d’hommes spécialement introverties subissent durablement des situations d’aliénation mentale ? Combien d’individus, introvertis ou non, témoignent d’enfers de géhennes endurés une vie entière, sans que l’environnement ni l’entourage ne soupçonnent rien ? Un introverti subordonné contre son consentement, exposé à des mensonges perpétuels visant à douter une certitude pourtant palpable, laquelle niée conçoit inévitablement une dépersonnification dissociative. Combien de maladies mentales directement générées de tiers tirant des ficelles menant à la confusion psychique, aux troubles prédictibles du comportement imputés indûment à ses porteurs, que l’on envisage aisément et notablement introvertis, inaptes à reformuler un narratif cousu sur-mesure ?

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L’emprise économique

Un ressentiment de dette cultivé, organisé socialement afin que de toute source narcissique disponible — spécialement introvertie, puisqu’il s’agit du thème central de ce site — ne recouvre aucune volonté concevable de liberté. Le souffre-douleur subsiste sans attentes ni besoins, et cela, toute synchronisation socialement admise le martèle afin qu’aucune individualité introvertie et sceptique interroge une masse croyante, parce que malvoyante, enfumée. Dans l’effroi du plaisir des simplicités légitimes, dont le circuit de récompense déjà passablement divergent ne fonctionne plus. Une source introvertie de fourniture narcissique évoquant un malaise manifeste une subvention victimaire inversant la charge de la preuve, en miroir. Transformée en bourreau, la proie introvertie assimile une contre-vérité narrée falsifiant la certitude observable pourtant. Le harcèlement dont fait l’objet la chose chosifiée du narcissique, coupe les réflexes de survie des cibles, spécialement les porteurs du tempérament introverti. L’enfermement chronique, psychique ou non, confirme l’impuissance apprise de cet état de choses. La source dénuée d’entourage fiable, hormis celui qui collabore, sans ressources et dépendante, sans appuis symboliques en encore moins matériels, les membres abolis octroyant tout mérite au manipulateur. Moquant la valeur de la source, sur laquelle narcisse projette ses plafonnements inhibés. Toute volonté d’accomplissement est « pathologisée ».

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L’illusion du contrôle, une imposture ?

Que les proies introverties aucunement victimes se raniment ! Toute croyance passée fabule et tout ce que le narcissique projette lui appartient. Le narcissique est grossier, restreint et sans talent, misérable et repoussant, vide, dénué de surabondance. Incapable de s’aimer en dehors de ses pathologies. Emmuré en sa médiocrité factuelle, sélectionnant de multiples sources avec soin, motivé par son jugement d’infériorité. Le moment est venu d’invalider cette souillure en se choisissant Soi. Se reconnaître enfin dans la valeur inégalable des limites du moi admirable, introverti.

TiS

Joe Navarro : Narcissist or Psychopath—How Can You Tell? Psychology Today

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