Société et Introvertis ⚰️ 5 Déclins Extravertis

Interrogation : Assistons-nous au coucher d’une parenthèse hyper expansive bimillénaire révélant la renaissance de l’ère introvertie ?

Depuis la mort du Christ ressuscité à la Pâques commémorée ces jours-ci, l’humanité notamment introvertie serait-elle simplement en train d’assister à la renaissance « du retour vers un futur », aux qualités cette fois, introverties ? Choc des civilisations ou contre-réaction ? Essai politiquement incorrect, mais avant tout, introverti.

Certains de ces individus dépendraient du tempérament introverti (autoproclamés ?) ; sans « cracher dans la soupe » pour autant cependant : cela tourne au vinaigre en cet occident ivre de soi.

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Excès sociétaux : un correctif prévisible ?

Un ‘Est’ introverti réactionnel, rééquilibrant davantage vertueusement, libérant des jougs dits occidentaux, imposés d’autorité de longue date et si insidieusement : l’Ours et le Géant, et d’autres à l’instar du Sous-Continent et Berceaux de l’Humanité fréquemment introvertis et partisans, reconnaissant finalement le preux libérateur déconsidéré naguère en faveur du miroitant baby Oncle Sam. L’Histoire n’enseigne pas à tous et chacun choisit une vérité. Toutefois, il est probable que cette légitimité relève en réalité d’une justice immanente qui s’appose finalement, non sans pertes et fracas. Ces derniers, évitables pourtant, s’imputent aux expansionnismes transposables aux tempéraments : tous les orients, d’hier et d’aujourd’hui, relèvent concrètement de la retenue, du doute, de l’introspection ; et des sagesses issues de psychés introverties, lesquelles influences reparaissent, de ces penseurs d’avant, ces références plénières incontestables, socles civilisationnels, du juste et attendu retour d’une sagesse hautement requise, en des termes de survivance de l’espèce. Trivialement, braverait-on.

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Confucianisme versus BHLisme ?

Le Premier, protège une éthique humaniste, donc dénuée de destination surnaturelle ; promouvant l’harmonie en compagnie des éléments et de ses semblables, édifiée sur la maîtrise de soi et de ses indulgences pour piété. Sans générer l’analyse introspective, ses principes fondamentaux alimentent toutefois une retenue typiquement introvertie, examinant l’élévation méritoire plutôt que les privilèges destinés. De l’autre côté, un courant d’intellectuels apocryphes fratricides par proxy, davantage calibrés à la collaboration d’élaboration de réclames illusionnistes, imposant brutalement un nouvel ordre totalitaire dit mondial, que la coercition autoritaire manipulatoire ne suffit plus à masquer. Et, que les sous-classes réveillées remettent en question, aboutissant au chaos occidental. Ces castes bradées par d’habiles publicitaires proposent un modèle prédateur, parasitique, que des usuriers peu consciencieux astreignent de moins en moins subtilement, à des peuples sacrifiés transitoirement, éventuellement. Les introvertis, ces sacheurs attentifs, agissants discrets, modestes d’une humilité introspective non-feinte et visionnaires aguerris, éprouvent des bouleversements que seules les Cassandre, respectueuses encore introverties et tantôt accablées, savent éprouver. Sans triomphalisme aucun ; déplorable en telles circonstances, que seule la perversion de l’indécence exubérante condescendrait.

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Byzance versus Rome ?

Une métaphore allégorique, que les introvertis rompus à l’exercice symbolique admettent incessamment, bien que les conforts individualistes endoctrinent ingénieusement et particulièrement, n’abandonnant que peu de champ aux méninges attentives d’introvertis en éveil, les occultant trompeusement. En effet, les introvertis innés majoritaires issus des Levants pas si lointains, incarnent une potentialité retardée et attendue ; de longue haleine de marathonienne obstinée et introvertie, que les administrés des terres couchées et assujetties aboutissent à reconnaître comme alternative souhaitable et augurée comme prédictible. Une réintégration de l’ancien au lendemain, en guise d’espoir notamment pour les introvertis angoissés ; hyper conscients que les dérèglements advenus standards et fortement conditionnés s’avèrent létaux envers une humanité malmenée, voire piétinée délibérément par une Romaine empoisonneuse peu scrupuleuse, égocentrique aux fruits intrinsèquement corrompus. Ces introvertis déconsidérés par elle et amoindris, quelquefois stigmatisés, observent ces retournements dramatiques comme une fatalité presque présumée, un virage humain persistant à sa survie dont les retournements confirment un bon sens dévoyé d’ans intimement amoraux. Sans omettre les dégâts épigénétiques que les générations futures parviennent à peine à mesurer. Un franc byzantin et n’en déplaise, néanmoins européen, contre toute attente, aux autorités diffuses que le libre arbitrage déconditionné et bien individué anime en faveur du bien commun, collectif celui-là, admettant à chacun l’altérité qui lui revient.

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De Gaulle déboute Kennedy ? (Gaumont versus Hollywood-Netflix ?)

Un traité transatlantique de 1962 que le président Charles de Gaulle ajourne face à Kennedy extraverti et expansif, désavoué finement par notre mémorable chef d’État français d’alors, tant regretté présentement ; bien que perceptiblement réincarné en des figures des Couchers solaires, remarquablement introverties et désormais emblématiques. (NDLR, Président de Gaulle, introverti Intj à l’instar du président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, soi-disant psychiatrisé en occident ; rappel admissible puisque notre site favorise la promotion et l’inclusion de toutes diversités et le respect de leur dignité humaine bafouée.)

« L’Europe de l’Atlantique à l’Oural »

De Gaulle

Ce « Soft power » opprimant par séduction égosillé perd sa voix synthétique, méconnaissable à l’oreille humaine qui rejette ce greffon toxique comme en témoignent les chutes vertigineuses de leurs cours en valeurs spéculatives que les marchés trahissent graduellement ; espoir d’une économie réelle supplantant une dette mythologique vendue de longue date à des régentés doutant des véracités de narratifs irrespectueux que des introvertis téméraires infirment pragmatiquement. L’on constate une opposition pas si civilisationnelle, cela se peut toutefois, davantage portée par une divergence culturelle qu’une chronique vieillissante jeuniste et atlantiste d’un empire déclinant de ses erreurs adulescentes, omet sciemment le bien-fondé historique préexistant.

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Levant versus Couchant ?

S’agit-il d’une observation commode, ce choc des civilisations en justification simpliste ? Atténuant une réalité cruelle, mal admissible des habitants d’un occident voué à l’effondrement (cyclique ?) spécialement par saturation ? Un affrontement inutile et inexcusable, spécialement des protagonistes traumatisés obstinément, comportant une chère chair de leur chair absurdement perdue en ces destins brisés qu’un lectorat introverti bienveillant n’a de cesse de déplorer, gravement. Ces introvertis des quatre coins du globe assurés qu’une ère balbutiant un devenir acceptable que ces balances égalisées par désespoir ; de n’avoir jamais pu entrevoir d’autres effets que ceux des duplicités fallacieuses d’un Coucher en perdition, aux branches asséchées, abandonnant du pan d’humains à cette inexorable crise. Un occident manipulateur, dénué d’affect, abusif et avide, ayant conduit notre bon Vieux Continent soudoyé, déchargé de son passé bafoué, mais si prestigieux ; lequel évincé d’une manchette de tripot et tricheuse, que les introvertis pointent congrûment, témoins d’une œuvre crépusculaire cavant plus avant la fosse commune de catacombes autocreusées. Emportant en géhennes, la cohorte de croyants, inaptes à pointer l’index d’un coupable tellement et unanimement identifié.

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Décolonialisme versus néocolonialisme ? (Souverainisme versus wokisme ?)

Emblème de pouvoir multipolaire ?

Agir ce que l’on dit, le penser, et déclarer ce que l’on fait, authentiquement : ainsi se récapituleraient les vents rétablis des Levants, que les mois et années ont menés en nos sociétés occidentales, conduisant une remise profondément en questions, de cette orientation féroce et subie ; que des dirigeants délégitimés des foules de plus en plus abondantes de leurs administrés, excédées d’essuyer des dettes ataviques conciliantes d’éternité. Qu’un parangon et son égrégore, prophétisé de longue date, aboutit à infléchir, élu au suffrage d’universel bien que diffamé de l’absolutiste teinte noire ! Les introvertis du bout du monde, le nôtre, celui qui inclut tout un chacun dans ses spécialités indécises ; aucun être, si introverti ou extraverti soit-il, se résume d’une saillie ; que les introvertis d’ailleurs et d’ici en distinguent le prologue architectural d’un volet historique sans précédent. Une proposition universelle admettant à tout individu le respect de ses constitutions en contributions, proposant à toute humanité d’occuper loyalement une place exigée de plain droit, qu’un orient déçu par les factices de promesses d’occident réussit à supplanter. L’altérité de toc échue, les introvertis spectateurs et acteurs d’un accomplissement qu’une balance équilibrée humanise enfin se réjouiraient presque de leur démarginalisation involontaire, validant ainsi que toutes ces notions paranormales ou karmiques, se révèlent quelquefois tangibles. Un biais inoffensif, compte tenu des conditionnements dont tout introverti responsable nécessite de se déprogrammer, non sans accablement : ce désespoir d’épilogue si peu glorieux ne se réjouit pas même à demi.

TiS

Portrait, merci à Anastasiya Gepp

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