Introvertis : Pratiquer le Réseautage (networking)

Comment pratique-t-on le networking puisqu’on est introverti ?

Il ne s’agit pas d’un article radioguidant des procédés d’expérimentations, en revanche, on a le choix de se constituer une marge d’actions introspectives, approfondissant sa dissemblance, la révélant diversement des foules. Définissant ainsi le dessein de l’introversion, une voix discordante et inclassable. Une voie d’alternance seyant aux introvertis concernés par leur authenticité qui préservent leur particularisme.

Le réseautage d’affaires

Selon Wikipédia le networking désigne un procédé selon lequel des interdépendances d’individus conduiraient aux consécrations professionnelles en usant un tissu relationnel. On surcharge son répertoire téléphonique en assistant à des événements en compagnie de femmes et d’hommes présentant une source de bénéfice, ainsi cela se produit désormais autant virtuellement par les réseaux sociaux.

Selon l’auteure et vu le style du présent billet, on peut en convenir que le réseautage semble radicalement défavorable. On peut envisager le networking sans trop s’avancer comme une manifestation égocentrique, dont la réalité des résultats n’est indubitablement peu reproductible : la légitimité du réseautage nécessiterait une remise en cause de son efficacité, puisque les décideurs restent continuellement consacrés à décider.

L’aveuglement du réseautage

Quelqu’un a-t-il véritablement l’appétit de consommer une ‘networking-conversation’ ? Le networking ou réseautage d’affaires serait-il positivement opérant ? Nulle étude illustre que le réseautage concède de progresser au sein de son cœur de métier.

C’est une information aberrante à laquelle la littérature scientifique ne rétorque pas, bien que quelques études en sociologie soient lisibles. On reste nuancé sur les effets réels du réseautage opportuniste. Les médias sociaux américains fourmillent d’articles aussi semblables et accablants concernant le networking, selon lesquels il satisfait de concevoir un programme mondain substantiel auquel participer activement (un cauchemar introverti) en se révélant à des inconnus afin de tisser une toile de réseau… Fraternel.

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Le gisement des confréries et sororités

Si on désire franchement se corrompre en accommodements, il vaut mieux être franc-maçon ou bien agir au sein d’organisations philanthropiques quelconques, passablement cyniquement, si on convoite bonnement de jouir de ‘coups de main’ providentiels (prévoir un budget fiduciaire et temporel cohérent). S’y rallient des individus dont le réseautage d’affaires se conçoit inégalement plus influent. Je pense, et cela n’engage que moi-même, que c’est effroyablement équivoque. Autrement, Il y existe invariablement l’éternelle pratique de l’hypergamie, une manipulation sociale éprouvée. Inélégante et proche des plus vieux métiers du monde.

Tous les réseaux ne s’équivalent pas et ce type networking parvient subsidiairement à agir lorsque l’on fait déjà autorité au sein de sa branche d’activité. À quoi bon dévoyer les miettes des brèves 24 heures dont on dispose journellement ? Peu de marge temporelle quotidienne en évidence permet d’évoluer en ce que l’on ambitionne authentiquement, en entreprenant un labeur consistant.

Le networking conformément à internet

Ces éditoriaux sont désopilants ! Ou réellement affligeants…. Patronnée par ma bonne foi coutumière, j’ai lu les trois premières pages de suggestions Google au sujet du réseautage, comportant des chroniques, et selon Forbes et Harvard business, le networking est une perte de temps à 99%.

Puis macache, le néant : hormis des recommandations creuses que l’on sait abréger ainsi : se pousser le postérieur afin de quitter de son asile commode, escorté d’une bonne poire ou du camarade extraverti, responsable des badineries loyales requises. Prouver ses aptitudes ne nécessite pas d’en commettre l’esbroufe par des mondanités dans l’objectif d’obtenir quoi que ce fut.

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Devrait-on réseauter ?

Nenni. On ne devrait pas frayer avec le networking, mais envisager de considérer le réseautage d’affaires comme une perte de temps vaine. Les entrepreneurs sont-ils prédestinés à pratiquer l’autopromotion de conférences ennuyeuses aux soirées zoom-network ? Gagner son pain doit-il mener à cet affront ? Si m’est offerte la possibilité de diffuser ce message à un seul introverti s’interrogeant sur ses compétences sociales avant de s’éprouver professionnellement, je me l’accorde comme privilège.

Supposé que l’on soit invité à assister à un événement dont on détient la spécialisation, il y paraît que les accointances s’y attachent simplement. Sans y manipuler personne, car nul ne sait feindre l’amitié professionnelle désintéressée. Le réseautage d’affaires est une notion très anglo-saxonne (extravertie et dopaminergique). Instrumentalisant fréquemment leurs fréquentations en partages de privilèges, se renvoyant des ascenseurs. Les Américains notamment entretiennent un lien au matériel (très) biaisé. Pourquoi un introverti suivrait-il les meutes ? Éprouvant qu’abstraitement, c’est la personnalité le plus qualifié, dédiée et stimulée par une tâche qui suppose conquérir de retenir l’attention, et ce, par l’unique crédit de son travail. Et non à la facture d’une flanelle ou de souliers cirés ni sa capacité à se contorsionner servilement.

Le biais introverti

Les introvertis n’exercent pas de réseautage naturellement. Compétents dans leurs domaines, ils ne requièrent pas de se vendre. Le meilleur conseil qu’on puisse donner à un introverti : devenir le leader des super-experts, on frappera à sa porte sans autre impulsion que la sueur de son front.

Une option plus abordable et affirmativement plus agissante que la pratique du cirage de bottes dans des réunions en ville. Autant s’acharner longuement à son activité et symboliser le diable en personne. Évolution imbattable, tout se produira sans avoir à jouer des coudes piteusement. Déclarer que concourir à un événement en plaisantant accomplit des magies est chimérique.

Pourquoi les gens font-ils ça ?

Le réseautage est une fabrication approuvant le leurre d’un accès à des accommodements virtuels, que des abonnés par milliers sur son réseau social souscrit d’en disposer mieux que les autres que l’on surclasse. Combien de geeks millionnaires (ou milliardaires) sont ignorés des réseaux sociaux ? Pendant que les gens perdent leur temps à se montrer sur l’internet, eux travaillent d’arrache-pied à leurs projets, desquels l’attention demeure organisée.

L’outil puissant que l’internet acompte et les persévérances qui sont vivement requises, dont l’exposition aboutit à encourager une filiation. On peut être certain que la plupart des accroissements dans sa fonction ne sont pas accolés aux temps que l’on dépense en jappements, mais plutôt à l’énergie que l’on investit à fignoler son savoir-faire.

Exposer son aptitude, pas soi

Est-ce que Elon Musk l’introverti-star du moment ou Ludwig Beethoven ont pratiqué la courbette ? (ceux éprouvant un peu Beethoven s’esclaffent) Ils ont bûché comme des fous furieux et ont échoué tant et couramment sans abdiquer. Revoici la vérité. Occasionnellement on besogne et cela échoue, parce qu’il faut de ce fait un peu de chance, un facteur injuste que les chanceux omettent, car l’amnésie flétrit les oublieux. Avec l’internet aujourd’hui, la chance vibre en Wifi. Déceler des plateformes, pas mille, simplement une ou deux, où répandre ce que l’on sait faire, peu importe le secteur d’activité que l’on adopte, un introverti n’a pas besoin de ‘sortir de sa zone de confort’ infructueusement. Exhiber que l’on est un misanthrope asocial est mieux efficient que le fayotage insincère antipathique.

Consulter le jugement de connaisseurs

Si on a ouvertement besoin d’assistance, pourquoi ne pas la solliciter simplement ? Par conséquent, cesser de craindre un refus plausible d’experts de sa branche, néanmoins, cela demeure nettement plus consciencieux de consulter une personnalité avec vulnérabilité que d’emprunter la séduction afin d’en obtenir les supériorités. Nous ne sommes pas tout voués à déshonorer son âme en convoitises sociales. Rien ni personne détient autorité empêchant les succès, ce sont les narcissiques couverts, virtuoses en victimisation qui affirment l’opposé. Les réseaux sociaux sont tout-puissants, l’internet est un vivier de futures associations équitables, à initier dans le ménagement de soi et de l’autre, parce qu’il est distinctement plus honorable de se respecter que la pratique d’une chorégraphie crispant l’esprit.

Saluer sa complexion introvertie

Muter en loup solitaire indépassable reste catégoriquement plus élégant et redoutablement opérant. Si on a sérieusement besoin des autres, le faire savoir abruptement. Respectueusement, en expliquant sa différence. On nomme et amplifie avec limpidité, l’estime meurt des avilissements qu’on lui inflige.

On commet pas mal d’aberrations lorsque l’on s’éprouve au sien d’une activité inconnue, il nécessite de savoir s’acclimater à son tempérament. Les créatifs ou hyper-techniciens introvertis le savent parfaitement bien qu’ils avortent énormément et travaillent promptement afin de sortir du troupeau. C’est en évoluant de spécialiste à expert que l’on bénéficie des pouvoirs de ne pas ingérer des coupes (de mauvais) champagne, avili. Ou de mander des conjurations d’amitié à de parfaits inconnus. Un introverti nécessiterait de concevoir un portfolio achevé de son talent et chercher ceux qu’il se choisit comme mentors, ceux qu’il estime véridiquement.

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Partager préférablement à plaire

Consacrer bénévolement quelque chose, se présenter sans attentes, on ne contrôle pas les autres. Et se discipliner à produire régulièrement en mesurant sa courbe de progression, on ne mute pas en génie en dormant la grasse matinée ou en pariant sur du copinage malin. S’exemplifier au sein de sa branche exige de dédier son temps fidèlement avec docilité et de ne pas le ventiler en des circonspections mondaines. Avec constance et acharnement on réalise ce que l’on sait qui brûle en soi, unique source de motivation du discret.

Nul se défie à l’adresse. Personne ne méconnaît un authentique spécialiste lesquels efforts sont indéniables à mesurer. Administrer son introversion et la combativité qu’avantage son procédé atypique, en s’entêtant à devancer ses restrictions. Le réseautage n’est-il pas une activité destinée à une catégorie d’individus à laquelle l’introversion ne dépend pas ? Cet éditorial ne sait pas séduire les partisans du réseautage habile et autres intoxiqués des réseaux sociaux, et je ne m’en afflige pas, si ce n’est envers l’accoutumance qui les allèche.

TheIntrovertSinger

Photos : Pexels, Matheus Bertelli, Ivan Samkov, clark cruz, cottonbro

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