Introvertis ❗ Extravertis Toxiques en 12 Points

Quelles sont les pistes authentifiant sans l’ombre d’un doute que l’on a affaire à un extraverti sans limites ?

Un individu sans système de valeurs, celles du bon sens que l’on peut ainsi appliquer en se restreignant sitôt que l’on usurpe le libre arbitrage ou bien la santé mentale et bien-être d’individus que l’on côtoie. Certains humains dénient cette responsabilité essentiellement primitive. Oui, certains extravertis sont bienveillants : les voisins gentiment loquaces sont ennuyeux et font faire des détours aux introvertis qui les évitent plaisamment. Qu’en est-il des extravertis que l’extraversion rend toxiques, voire pis… Révélons diligemment.

Hypothèse : des extravertis dopamine-dépendants en cause ?

C’est un mal pour l’humanité qui peine à comprendre qu’il s’agit probablement d’un problème de santé publique : suralimentation, exhibitionnisme, sexe à toutes les sauces, les duplicités, mensonges jouissifs et manipulation passe-temps, les prises de risques inconsidérées : tout ceci demeure une liste non exhaustive de la toxicité des comportements extravertis que l’on saurait qualifier d’ordinaires. La dopamine, que certains expansifs décident de ne plus laisser administrer leur existence afin d’atteindre une forme de quiétude ; quelques-uns publient une littérature vulgarisée dans le but de faciliter aux personnes extraverties ayant identifié le rôle de la dopamine quant à leurs excès, de s’éduquer en évoquant leurs exemples ; invoquant les intérêts d’une cure de désintoxication en dopamine.

Les introvertis non-alignés

Ne déplorent, pour leur part, aucune difficulté dopaminergique à regretter. On sait que de nombreux introvertis surdoués possèdent un cerveau dont le cortex préfrontal contient davantage de dopamine comparativement des normopensants, cependant cette dernière n’est qu’au service d’une capacité de concentration hors du commun. En revanche, le circuit de récompense n’est absolument pas dopaminergique, ainsi aucun verrou à déflagrer comme on le regrette chez de nombreux individus non introspectifs. Fréquemment, les fonctions exécutives des introvertis laissent à penser qu’un manque de motivation entrave leurs entreprises : il n’en est rien.

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Coexister des extravertis confuse parfois alors s’ils se révèlent toxiques…

Assurément, de nombreux introvertis évoquent non sans humour les nuisances – décentes toutefois – impliquant d’avoir à guetter son environnement afin de sortir de chez soi sans avoir à absorber les verbiages et autres babillages que les extravertis figurent pratiquer non sans plaisir. Une énigme, il faut le reconnaître, quant aux introvertis aptes à prendre un chemin rallongé, quitte à y perdre un temps précieux dans le but d’éviter une causerie pour laquelle ils n’éprouvent collectivement ni l’appétit ni les aptitudes. Les extravertis paraissent stimulés par la dopamine exaltant ces antagonistes en tempérament. Et lorsque l’on y réfléchit intensément, on s’aperçoit qu’une partie de l’humanité introvertie endure, mutique. Revoici ainsi 12 saynètes de conviction.

12 Signes Qu’Un Extraverti Est Toxique

I Une voix criarde et tapageuse

À l’instar de ces marchandes de friture dont le timbre grinçant et l’intensité de la fréquence conçue biologiquement dans l’objectif d’exaspérer les ouïes délicates et électives dont les modestes introvertis apitoient la dot. Un cadeau empoisonné alors que l’on doit endurer, en introverti sensitif, voire hyperesthésique, les outrages. Même un casque anti-bruit n’y résiste pas et encore moins une machine à bruit blanc demeurant amèrement superfétatoire en ces circonstances.

II Entraînant la promiscuité

Puisque la dopamine y fait retourner, on déplore des comportements promulguant certains professionnels de la profession pour de piètres amateurs, tant l’addiction aux luxures conduit en dépit du bon sens. L’on souhaite savoir si certains tueurs en série (généralement décrits comme introvertis) ne seraient tout simplement pas des individus expansifs inhibés cherchant à atteindre un retour dopaminergique dépassant le précédent, comme nous l’avions découvert par cet article. Finalement, les introvertis se félicitent pour leur indépendance de cette neurohormone couchant, dépensant et agissant en compagnie de quiconque ou quasi.

III Subsistant en peloton

Nourris aux interactions sociales et dépendants d’attention qu’ils mendient sans amour-propre, ces personnes au tempérament expansif ignorent comment exister sans grappe, sans annexion à des groupuscules d’individus de leur ressemblance. Les introvertis leur sont dissemblables en tout. Ainsi, l’extraverti toxique astreint un mode de comportements imposés aux divergents introvertis. Le groupe, on le sait, mute en une entité s’entraînant dans des compulsions majorées en son effet collectif qui s’autovalide et motive dans une sorte de huis clos communautaire.

IV Pauvre en maintien

L’on commère et cause, et babille afin de résoudre ses problèmes, l’on fait abusivement partager, on en étale trop et tout le temps. Un mode de vie que ces extravertis toxiques alimentent en ne se refusant aucune option. Les stimuli sont auscultés par ces individus incontinents dont l’écume transmet un entourage hébété par une effronterie qui n’a d’égale que sa billevesée. L’ignorance avantage de ne pas endurer sa frivolité, et l’arrogance couvre de la culpabilité.

V Mouvant l’agitation

Une avidité en mouvement, comme tous ces bruits, ces besoins de manœuvrer tout et tout le temps, y compris virtuellement par le biais des réseaux sociaux. Ces extravertis toxiques apprêtent une distraction, en entraînant une autre puis encore autre chose, abandonnant somme toute que peu d’espace à ces esprits pour invoquer l’introspection et modifier leurs choix existentiels. Les introvertis vivent une cohabitation prédéterminée vers l’échec en compagnie d’individus leur infligeant des pertes d’énergies monumentales à leur contact.

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VI Se tannant naturellement

Justifiant un manque d’auto-respect conduisant à courir tous les lièvres simultanément, expliquant ainsi la cinquième raison précédente, cette carence en contentement dodelinant dans tous les sens en même temps, déstructurant les actions. Ces individus hautement extravertis et toxiques aménagent des puits sans fond en les emplissant d’autres vacuités plus profondes, dans un aveuglement certain.

VII Tragédiens journaliers

À l’instar de toute personnalité histrionique, et l’on attribuerait pourtant cette condition à l’extraversion dans sa manifestation la moins altruiste : la quête de stimulation invite à la compulsion, ainsi les expansifs toxiques produisent des campagnes de dénigrement, ou bien la pratique du bavardage calomnieux. Une tradition avilissante dont quelques introvertis éprouvent trop bien les effets sur la qualité de vie au quotidien.

VIII Baissant autrui

L’un des premiers effets des égos atrophiques goûtant leurs projections afin de ne pas affronter leur confusion en vêtant les autres de leurs oripeaux malaisants. L’on apostille les manques d’estime masqués chez tous ces individus sans limites, trahis par leurs choix de vie – passés ou présents. Les introvertis observent qu’une personne dissimulant son absence totale d’auto-compassion se fourvoie dans des répétitions ; que l’on constate sans effort, tant les systématismes évidents l’indiquent, surtout pour un esprit analytique, à l’instar de celui dont dispose l’introverti.

IX Bamboula immortelle

Une sorte de fuite en avant ! Requalifiant mieux toutes ces agitations typiquement extraverties. Excepté qu’en la personne d’un expansif toxique, il s’agit avant-tout de générer des désordres au sein desquels ces personnalités embrouillées détectent un engrais fertile en faveur de leurs mauvaises graines. Un champ d’amertume que les décibels et compulsions costument à l’instar de l’arbre cachant des pinèdes dévastées. Combler des riens assistés de vides que l’introverti trinque sans s’y être réclamé.

X Mal imputabili

Quelques thérapeutes l’évoquent sous le terme de refoulement, un évitement pratiqué par nombre d’extravertis toxiques, particulièrement adverses de l’introversion s’apposant tout événement, ne serait-ce que par probité morale vis-à-vis de soi et par ricochet, en faveur des autres. Un exemple que ces expansifs surabondants n’éprouvent en aucune mesure, si leurs parcours perdurent comme une légende homologuée.

XI Experts projeteurs

Semblable à une loi universelle que se transmettent en atavisme empoisonné des générations de poltrons asthéniques, employant la technique commode, transmettant ses conduites aux figures des victimes afin de leur en confectionner des couvre-chefs. Ainsi chapeautés, certains introvertis se trouvent quelquefois inversés en coupables, et cela se produit si continuellement que l’humanité documente désormais ce type de posture en la médiatisant. Ils ne se cachent plus, cependant poursuivent d’exister. À quand « l’eugénisme psychologique » envoyant tous les enfants chez le thérapeute dès l’apprentissage obligatoire. Instruire pour l’avenir.

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XII Contiguïté harassante

Un baromètre savant donnant le ton instantanément aux introvertis, ignorant comment considérer une personne peu introvertie de leur entourage ; l’on se sent anémié et vidé, non pas à la manière d’une conversation intense, seulement davantage comme un début d’asthénie. Une pesanteur inhabituelle à la fin d’un contact avec un extraverti identifiable comme toxique. Parfois, ces individus emploient la manipulation ouverte ou couverte afin d’empoissonner leur environnement. Des poisons à l’image de tous ces pesticides que l’on ingère au quotidien, imperceptibles et redoutables, durablement, toutes et tous, notamment introvertis, vastement contaminés.

TiS

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Photos :  Andrea Piacquadio,  Maria Orlova ,  Liza Summer,  Javon Swaby , JESSICA TICOZZELLI 

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